Est-ce que les étudiants français sont malpolis ?
Description
Dans la plupart de mes cours à UT2J, il y a des étudiants qui entrent la salle de classe en retard, alors les professeurs laissent la porte ouverte. Quand les étudiants entrent, ils marchent lentement et timidement, ils arrêtent le cours afin de dire « Je suis désolé d’être en retard », et puis ils s’asseyent dans la salle de classe et le cours continue. Cet événement dans le cours n’est pas la seule chose qui je trouve d’être une habitude d’étudiant français différente que les habitudes d’étudiants américains. Pendant le cours et quand le professer enseigne, il y a beaucoup des étudiants qui parlent avec d’autres, qui regardent leur portable, et qui dorment. Dans mon cours d’histoire de genre et citoyenneté le lundi dernier, j’ai eu difficulté de suivre le cours et ma professeure parce qu’il y a beaucoup des étudiants qui parlaient plus fortement qu’elle. Dans l’ensemble, la professeure ne disait rien aux étudiants et elle a continué d’enseigner le cours comme les distractions n’étaient pas là.
Interprétation
Le lendemain, j’avais mon bilan avec Madame Carnin dans le matin et mon rendez-vous pour La Une avec Emma dans l’après-midi, et j’ai parlé de ces éventements avec eux. Mon groupe pour La Une écrira sur les différences en attitudes, en ressources, et en structures entre la France et les États-Unis dans le cadre de handicap, comme les différences et similarités en aménagements qui sont donnés dans les universités américaines et les universités françaises. Dans le rendez-vous, nous parlions beaucoup de fait que comme l’enseignement supérieur en France est un droit, les étudiants ne sont pas très importants dans la classe comme aux États-Unis. En France, il est la responsabilité des étudiants de prendre le relais de leur éducation parce que le professeur ne va pas tenir leurs mains. Emma a aussi dit que les étudiants ne ressentent pas important comme un individuel dans la classe et ils savent que le professeur ne leur parle pas directement, alors les étudiants ne pensent pas qu’ils doivent écouter. C’est pas exactement un cas de manque de respect pour le professeur, mais un manque de reconnaissance de l’opportunité dont ils ont pour apprendre. Ils ne pensent pas qu’ils doivent écouter parce que l’enseignement supérieur est un droit et il est normal. Étant donné que tout le monde peut accéder à cette éducation, ces étudiants ne voient pas l’éducation comme une chose spéciale. Ils sont aussi un peu invisibles dans la classe et le professeur ne les regard pour toute la classe et noter les étudiants sur leurs comportements.
Évaluation
Quand je vois ces comportements d’étudiants je trouve qu’ils sont malpolis et que ces étudiants ne respectent ni leur professeur ni eux-mêmes. Encore après ma conversation avec Emma, je trouve ces actions désagréables parce qu’ils sont très différents des habitudes à mon université aux États-Unis. Je sais que je n’ai pas le droit de juger ces étudiants pour une différence culturelle, mais mes parents et ma grande-mère sont des enseignants et j’estime extrêmement le respect de professeurs. Je ne traiterais jamais un professeur comme cela à Grinnell et je serais très choqué si un autre étudiant à Grinnell se comporte comme ces étudiants français. Je pense que les étudiants américains respect l’enseignement supérieur plus que les Français parce qu’il coûte beaucoup plus chère et qu’il est une opportunité plus rare aux États-Unis. En outre, dans les universités de lettres et sciences sociales et humaines les classes sont beaucoup plus petites et le professeur va connaître s’il y a un étudiant qui crée des distractions. Les étudiants américains ont souvent les rapports plus proche avec les professeurs alors on ne veut pas être malpoli vers quelqu’un qu’on respect. Par exemple, j’ai dîné à la maison de l’une de mes professeurs et j’ai cuisiné avec deux autres de mes professeures. J’ai deux amis qui ont mangé le dîner de Thanksgiving à la maison de leurs professeures. Je pense qu’il est plus difficile d’entre la classe très en retard, de créer les distractions, et de n’écouter pas la conférence quand on connaît bien son professeur.