Une connaissance générale de l’histoire
Une des mes parties favorites de Toulouse est l’histoire riche qui est toujours présente ici. Il semble que dans chaque coin de rue il y a une église ou un bâtiment historique qu’on peut explorer, et c’est souvent gratuit. J’aime particulièrement les églises dans Toulouse pour un moment de quiétude pendant mes journées très occupées. Je suis toujours très impressionnée par la beauté de ces bâtiments qui sont nichés entre les bureaux, écoles, et restaurants où les français vivent chaque jour.
Pendant un de mes séjours agréable dans les bancs de la Basilique de la Daurade, j’ai fait un peu de recherche sur l’histoire de cette église éblouissante. La Basilique, pas très marquée ou flagrante à l’extérieur, a une page Wikipedia. J’ai trouvé que ce bâtiment est un des plusieurs églises qui étaient construites ici. La première a été construite pendant le 5ème ou 6ème siècle.
J’ai commencé à penser: est-ce que les gens français savent plus sur l’histoire parce qu’ils sont entourés par ces monuments de l’histoire chaque jour? Aux États-Unis, c’est pas très souvent qu’on fait face à un monument d’histoire dans nos vies quotidiennes. C’est peut-être parce que les États-Unis ont moins d’histoire (on est un pays très jeune), ou parce que les États-Unis sont beaucoup plus grands et donc on ne doit pas avoir nôtres monuments historiques dans les mêmes espaces ou on vit.
Ce soir-là, j’ai posé ma question à Simon, un de mes hôtes, qui a dit qu’il ne pense pas que sa connaissance d’histoire vient forcément du fait qu’il est toujours entouré par l’histoire. Il a dit qu’il pense que ça vient plutôt de son éducation, qui focalise beaucoup sur l’histoire et l’identité français par rapport à l’histoire. Peut-être que ce centre sur l’histoire dans l’éducation vient des lieux historiques, mais c’est beaucoup plus probable que le connaissance et les lieux proviennent de l’histoire fort de ce pays.
Mais il a dit aussi qu’il y a beaucoup de Français aussi qui ne connaissent pas l’histoire, et il pense que c’est un problème croissant aujourd’hui. Grâce à tous les pensés de Simon au sujet de la connaissance de l’histoire, je commençais à penser que peut-être j’avais trop généralisé. Oui, c’est vrai qu’il y a une vraie richesse d’histoire ici, et que l’histoire est donc très valorisée par la société française en général. Mais c’est aussi vrai qu’il y a des gens qui n’engagent pas avec cette histoire. Pour moi, il semble déraisonnable de n’engager pas avec l’histoire quand on est toujours entouré, mais je sais que je suis un peu hypocrite avec cette évaluation aussi. Je suis sûre qu’il a beaucoup d’histoire à WashU ou à St. Louis que je ne vois pas. Mais je veux utiliser l’opportunité d’être ici, à Toulouse, pour voir un lieu avec les yeux nouveaux et pour être vraiment curieuse.