March 30, 2024
1)
Une chose que j’ai remarqué en France est qu’il y a beaucoup de graffiti partout. Certes, on a vu beaucoup de street art pendant notre “graf’ tour” de Toulouse, mais il y a aussi beaucoup de graffiti non-artistique. Par exemple, on peut en trouver sur presque tous les murs des bâtiments à mon université. Souvent les graffitis affichent un message politique. J’ai vu des graffitis encourageant les étudiants à voter, j’ai vu des graffitis réclamant une reforme de police, et j’ai même vu des graffitis insultant des fascistes. Cependant, j’ai aussi vu des graffitis amusants et humoristiques, certains qui utilisent d’argot comme le verlan. Par exemple, mon graffiti préféré que j’ai vu à l’université est un qui dit, “+ de teufs, – de keufs.” Après notre cours sur l’argot, je pouvais reconnaître que cela veut dire “plus de fêtes, moins de flics” en utilisant le verlans.
2)
J’ai demandé à un autre étudiant dans un de mes cours sur la prévalence de graffiti à la fac, et il m’a expliqué quelques choses. D’abord, le fait que le graffiti est simple et facile et donc attrayant aux gens qui veulent envoyer un message. C’est une manière d’expression politique, et l’anonymat veut dire qu’il y a moins de risques. Mais c’est aussi une manière d’expression de soi. De plus, les messages amusants sont souvent bien reçu. J’ai appris que, même si le graffiti comme ceux qu’on peut trouver à la fac n’est pas forcément legaux, comme le graffiti aux États-Unis, c’est plus courant et plus accepté ici en France qu’aux États-Unis.
3)
En fait, ce qui m’a frappé le plus n’était pas les graffitis eux-même, mais le fait que, souvent, ils peuvent rester en place pour quelques semaines avant d’être effacés, même si le message et un peu insultant, et même à l’université. C’est un peu choquant, parce que aux États-Unis le graffiti sur les campus des universités est beaucoup moins fréquents. Dans les rares cas où quelqu’un fait du graffiti à un université aux États-Unis, d’abord c’est presque toujours un message politique, et deuxièmement il est effacé presque immédiatement. Je trouve cette différence très interessant, parce qu’il me semble que, ici en France, le graffiti peut être à la fois plus effectif parce qu’il reste en place plus longtemps, mais aussi moins effectif à cause de son abondance qui va voleur son impact.
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Posted by hirschha
March 29, 2024
Description
Lors de ma visite dans une sandwicherie locale pour le déjeuner cette semaine, j’ai entendu la boutique diffuser de la musique country des États-Unis. C’était une première ! J’ai l’habitude d’entendre un large éventail de musique des États-Unis dans de petites enseignes françaises où les paroles ne correspondent pas vraiment à l’ambiance. Je me souviens d’une autre sandwicherie qui avait une atmosphère très mignonne, mais la musique diffusée était du vieux rap américain avec beaucoup de jurons. C’était drôle pour le groupe d’Américaines avec qui j’étais, mais cela ne semblait pas affecter les clientes françaises. C’est intéressant de noter cela car aux États-Unis, seules les chansons en anglais sont diffusées et parfois de la musique espagnole très populaire. Il était surprenant de découvrir que les établissements français ne diffusaient pas de musique française comme je m’y attendais.
Inteprétation
J’ai demandé à deux de mes camarades françaises et elles ont dit que la musique des États-Unis est très bonne et que tout le monde ici, du moins de notre génération, écoute beaucoup de musique des États-Unis. Il semblait qu’elles n’aient pas autant d’amour pour les artistes français locaux, alors j’ai demandé si elles aimaient la musique française et laquelle elles préféraient. L’une d’elles a dit qu’elle les aimait également car elle appréciait l’accompagnement instrumental et la production de la musique des États-Unis, et pas seulement les paroles. Elle aime la musique française car elle est dans leur langue maternelle, et elle peut s’y connecter. L’autre amie a dit exactement la même chose et a ajouté qu’elle connait beaucoup l’anglais donc elle pouvais bien apprécier la langue. Elle a exprimé que les États-Unis ont une grande influence dans le monde du divertissement, donc je ne devrais pas être choquée par la représentation de l’art des États-Unis en France.
Évaluation
Après réflexion, j’ai réalisé à quel point une culture peut être influente pour une autre. Dans le cas du divertissement, il semble vrai que les États-Unis ont apporté de grandes contributions à la musique, au cinéma, etc. Les États-Unis empruntent également à d’autres cultures et les intègrent dans la société, comme la nourriture italienne, les mots français, la musique espagnole, etc. Il est également intéressant de considérer dans quelle mesure un mélange de cultures affecte la “culture originale”. J’ai lu qu’il est nécessaire pour certaines stations de radio toulousaines que au moins 40% des chansons qu’elles diffusent doivent être en français, comme moyen de préserver la musique et la culture françaises. Peut-être que cela révélerait quelque chose de réfléchir à la manière dont différentes cultures choisissent à la fois de préserver leur culture et d’incorporer d’autres cultures.
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Posted by chiwengm
March 29, 2024
J’ai remarqué qu’il y a beaucoup de graffitis dans les toilettes à l’université. Il y a des dessins, des messages, et des statements politiques. Dans chaque toilette, il y existe généralement beaucoup de graffitis. J’ai vu des sentiments contre les policiers et des messages positifs pour les autres gens qui utilisent les toilettes, comme “tu es belle, avoir une bonne journée, tu peux le faire”. J’aime lire les choses écrites sur les murs, c’est intéressant de voir.
Je pense que les graffitis sont liés avec l’augmentation de involvement politiques pour les étudiants de l’université en France (par rapport aux Etats-Unis). Par exemple, il y a beaucoup de sentiments anti-policiers et d’autres messages politiques. Une autre explication est que les graffitis sont une partie de la culture française, ou parce que c’est une grande ville. Comme toutes les grandes villes, il y a beaucoup de graffitis dans les rues de ville aussi. Les sentiments anti-policiers sont similaires à ceux aux Etats-Unis. Les graffitis semblent être des trucs typiques des étudiants universitaires. Je trouve des graffitis intrigants.
Les graffitis sont une façon d’expression pour les jeunes francaises. Ils peuvent communiquer avec les autres anonymement. On peut demander des avis sur des choses, et être créatif en faisant des dessins. Contradictoire à l’ attitude générale de graffitis, je pense que la plupart sont amusants, intéressants, et une bonne façon pour diffuser des messages.
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Posted by grulkel
March 29, 2024
L’une des choses qui m’a le plus surpris en étant en France, ce sont les transports en commun. La première fois que je l’ai pris en janvier, cela m’a toujours surpris. Le plus grand choc a été les agents de Tisseo qui vérifient vos billets et s’assurent que vous n’enfreignez pas les règles du bus ou du métro. J’étais dans le bus pour aller en cours la semaine dernière et les agents de Tisseo sont montés à bord et ont commencé à demander des billets à tout le monde. Au début, j’étais nerveux, je ne voulais pas mal comprendre la situation et les énerver. Heureusement, tout s’est bien passé et j’ai continué mon chemin. Mais il y avait une personne qui n’avait pas de contravention et elle a été emmenée par les policiers et a reçu une amende.
J’ai demandé à mon amie qui avait étudié à l’étranger en Allemagne comment fonctionnaient les transports publics là-bas et si elle avait vécu quelque chose de différent. Elle a déclaré que les gens utilisaient tout le temps les transports publics sans payer. C’était normal de faire ça. J’ai alors demandé à mes amis de SciencesPo s’ils avaient vu des choses similaires se produire. Ils ont tous dit oui, mais ils n’étaient pas aussi choqués que moi. Ils ont expliqué que les Français sont pointilleux sur leurs règles et attendent des autres qu’ils les suivent. Je pense que cela est lié à un rapport d’autorité en France et que l’homme qui n’achetait pas de billet devait en subir les conséquences. Après que l’homme ait été emmené, tout le monde était plus silencieux. C’était presque tabou qu’il ait essayé de s’en sortir. Je décrirais l’expérience comme délicate, mais il existe une culture qui consiste à s’occuper de ses propres affaires, donc rien n’a été fait ou dit.
Les gens dans les transports publics sont réservés et n’interagissent pas vraiment. La plupart du temps, je n’entends même pas les gens parler dans le bus. Je pense que tout cela est lié à une culture de respect des règles que chacun doit suivre et de s’intégrer le plus possible. Il me semble que les Français ne veulent ni être vus ni entendus. Ils suivent simplement les règles et s’occupent de leurs propres affaires.
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Posted by palmerwi
March 29, 2024
Maintenant aux états unis il existe un grand débat au sujet des politiques dans les campus des universités. En général, les politiciennes accusent les universités, surtout les institutions des arts libéraux, de corrompre les esprits des jeunes. Selon les conservateurs, le campus est un foyer d’anti-américain radicalisme, socialisme, et communisme.
Après quelques mois dans un campus français, il me semble que ces arguments sont fous. L’université Toulouse Jean Jaurès est probablement qu’ils imaginent les campus américains. A Jean Jaurès, tous les jours il y a un groupe de communistes distribuent des tracts, et partout il y a le graffiti politique, affiches sont plâtrées sur tous les murs. J’ai trouvé tout cela un grand changement de la vie aux états unis. Franchement, j’ai une nouvelle perspective de ma liberté d’expression à Dickinson qui est moins positive. Par exemple, si je distribuais des tracts, ou attachais des affiches à Dickinson sans autorisation expresse de l’établissement, je serais arrêté par DPS et un email sera envoyé à la communauté pour s’excuser pour la perturbation. Je ne veux pas dire que je dois avoir le droit de vandaliser mon université, mais c’est intéressant de comparer les choses qui sont tolérées en France dans certains contextes et qui sont absolument interdit aux états unis.
Pour améliorer ma compréhension de ce phénomène, j’ai abordé le sujet dans un dîner avec mon hôte et ses amis. Ils ont exprimé que les communistes sont de temps en temps ennuyeux, mais inoffensifs. Ils ont été surpris quand j’ai expliqué que le communisme est un grand tabou aux États Unis, qu’une histoire de socialisme (pas communisme) crée la possibilité d’un scandale pour un politicien. Certains États ont proposé des lois pour interdire toute l’immigration des membres, anciens ou actuels, d’une partie communiste. La conversation de politiques de gauche est vraiment différente ici qu’aux États Unis.
Je pense que l’histoire de la « Peur Rouge » et la guerre froide est responsable de la différence d’opinions sur l’expression d’idéologie gauche entre France et les États Unis. Après deux générations ont été élevés à haïr le communisme, c’est proche d’impossible de changer ça. Les opinions qui sont considérées centriste ou pas polémique en France sont considérées d’extrême gauche aux États Unis. Maintenant, je comprends plus comment ça fonctionne dans la vie universitaire.
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Posted by wymerm
March 29, 2024
Description
La première fois j’ai vu l’un de mes hôtes retourne chez elle du lycée pour manger le déjeuner, j’étais un peu surpris. Elle est reste dans l’appartement pour plus qu’une heure avant de partir pour revenir à l’école. Ce n’était pas un évènement unique, mais quelque chose qu’elle fait presque chaque jour depuis l’école primaire. En plus, ma famille d’accueil a le temps de cuisiner des repas entiers, et de les manger, chaque midi pour le déjeuner. Pour moi, qui est habituée aux courtes pauses déjeuners, c’était vraiment une choque. En addition, plusieurs fois – particulièrement dans les petites villes – j’ai remarqué des magasins qui ferment pour deux heures pour donner aux emploies des pauses déjeuner, typiquement de 12h a 14h. Cette tendance de prendre les pauses longes pour le déjeuner est extrêmement diffèrent aux pauses chez Etats-Unis, qui sont généralement le plus court possible.
Interprétation
Mes hôtes m’ont dit que c’est tout à fait normal pour les Français de prendre des pauses qui dur une heure ou plus pour qu’ils puissent manger le déjeuner. Ils aiment prendre le temps d’apprécier le repas et la conversation. Par contrait, aux Etats-Unis, au collège et au lycée nous étions donnés seulement 40 minutes de manger. En plus, pendant l’été quand je travaille toute la journée, je suis donné seulement 30 minutes de manger. Ces courtes pauses déjeuner sont complètements normaux pour les Américains ; ils sont juste des réalités de la vie. Malheureusement, je suis maintenant habituée à ces pauses qui nécessitent qu’on mange vite.
Evaluation
Je préfère absolument le point de vue français du déjeuner. Je pense que c’est important de prendre le temps d’apprécier le moment dedans on trouve lui-même. En plus, les pauses plus longes donne au gens le temps de récupérer et de préparer les tiens pour le reste du jour. Je pense que c’est mieux pour la santé mentale d’avoir l’option de prendre une pause. Chaque fois je me suis dépêché de manger vite pendant une pause a l’école ou au travail, je suis parti avec l’impression que je n’avais pas assez de temps libre. Je pense que la culture Américain concernant le travail est toxique parce qu’il ne donne pas assez de temps aux travailleurs pour se reposer.
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Posted by coolshark
March 29, 2024
Cette semaine, mon amie qui m’a rendu visite a décidé que nous devrions cuisiner des tacos mexicains. Nous avons besoin de beaucoup d’ingrédients comme des tortillas de maïs, des épices spécifiques et d’autres snacks mexicains pour que le repas soit complet. J’ai dit à mon ami qu’il serait probablement impossible de faire des tacos authentiques, car il n’y a pas de magasins mexicains à Toulouse. J’ai été choqué de découvrir que mon ami avait trouvé un petit supermarché appelé “Comptoir Mexicain Aztek” qui contenait des produits mexicains. Je savais que la population latino-américaine de Toulouse était très faible, alors découvrir qu’il y avait un magasin mexicain m’a fait très plaisir. J’ai été encore plus choquée de découvrir que le magasin était très proche de moi, il me suffisait de descendre du métro Compans-Caffarelli, qui est l’arrêt auquel je descends toujours pour me rendre à Dickinson.
Le magasin propose plus de produits que je ne l’imaginais, et j’ai même trouvé des perles cachées comme les véritables chips Takis et les bonbons Pulparindo. Pour une raison ou une autre, je pensais que les produits venaient des États-Unis, mais ils étaient tous importés du Mexique ! J’ai eu envie de savoir à quoi ressemblait la communauté mexicaine à Toulouse. Je me suis présenté et j’ai parlé au propriétaire qui travaillait à la caisse. Elle m’a dit qu’elle vivait à Toulouse depuis plus de quinze ans et qu’elle avait ouvert son magasin il y a deux ans. Elle voulait apporter plus de culture mexicaine à Toulouse, c’est pourquoi elle a décidé d’ouvrir ce magasin. La propriétaire est mariée à un Français et a une petite fille qui regardait une vidéo en français, mais sa mère lui parlait en espagnol ! Lorsque je lui ai demandé si elle connaissait d’autres magasins mexicains ou d’autres lieux culturels, elle m’a parlé de troisrestaurants extraordinaires situés à proximité, avec lesquels elle reste souvent en contact afin de renforcer la communauté.
La conversation avec le propriétaire du Comptoir Mexicain Aztek et le fait d’aller au magasin m’ont fait réaliser à quel point la nourriture est importante pour une culture. La visite du magasin mexicain m’a rappelé d’autres supermarchés asiatiques et maghrébins que j’ai vus près de chez moi. Alors que certaines communautés en France peuvent être grandes ou petites, elles essaient toujours de mettre en œuvre leur culture dans n’importe quel coin de Toulouse. La caissière m’a parlé d’une rue à Toulouse qui a beaucoup de bars et restaurants latino à proximité que je devrais visiter. Après avoir vu l’artiste tunisien avec Dickinson et en avoir appris plus sur le couscous comme plat national, je comprends mieux la façon dont les immigrants à Toulouse s’installent et essaient de faire de Toulouse leur maison. J’aimerais en savoir plus sur les populations immigrées toulousaines et sur la façon dont elles ont adapté et intégré des aspects importants de leur vie. Je me demande combien d’autres supermarchés ethniques étonnants il y a à Toulouse que je dois encore explorer!
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Posted by rojoreyk
March 28, 2024
Pour toute la semaine passée, j’étais très malade. J’ai eu une toux grasse, un mal de gorge, et un nez congestionné. Après quelques jours en souffrant de mes symptômes, j’ai décidé d’aller à la pharmacie. J’y suis allée, et j’ai commencé à chercher des médicaments qui pouvaient m’aider. Certes, j’ai attendu que les médicaments ne seraient pas les mêmes qu’aux États-Unis. Mais, je n’ai pas attendu que la pharmacie aurait que des produits cosmétiques. J’ai traversé tout le magasin, et enfin, j’ai parlé avec un employé. En même temps que j’ai posé ma question, j’ai vu des piles de médicaments juste derrière le comptoir. Même si j’étais très malade, j’étais tellement curieuse. Pourquoi étaient tous les médicaments derrière le comptoir, et pas disponible sur les rayons?
Aux États-Unis, c’est courant que tous les médicaments sont disponibles partout dans une pharmacie. On peut naviguer les rayons et voir ce qu’on peut acheter, si ce sont des médicaments ou des produits cosmétiques. En fait, il n’y a pas beaucoup de médicaments qui sont véritablement contrôlés. Cependant, en France, il n’est pas du tout possible d’acheter un médicament sans avoir parlé avec un travailleur. Quand je me suis approché le comptoir, j’ai essayé d’utiliser mon vocabulaire pour expliquer mes symptômes. Comme un médecin, l’employé a identifié mes symptômes et elle a choisi un médicament pour ma gorge. Elle m’a donné des instructions pour le médicament. Cinq euros et cinq minutes plus tard, j’étais sur ma route chez moi.
Bien que ce soit complètement différent qu’aux États-Unis, j’aime beaucoup la façon ce dont les pharmacies marchent en France. Quand j’étais au lycée, je travaillais dans une pharmacie. À l’age de 17 ans, je n’ai su rien du tout sur les médicaments. Même si les médicaments sont moins disponible dans les magasins, le fait qu’on doit parler avec les pharmaciens avant qu’on achète des médicaments montre la confiance que les français gardent en leurs fournisseurs de soin. En plus, comme une étudiante à l’étrangère, c’était plus facile pour moi à poser des questions et recevoir un médicament plutôt que choisir un médicament français moi-même.
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Posted by springea
March 28, 2024
Obtenir son permis de conduire à 16 ans aux états-unis est un rite de passage pour la majorité des adolescents américains. Aucune des mes amies françaises que j’ai rencontrées à l’université n’a de permis de conduire– et elles ont toutes 19 ans ou plus! J’ai appris cela lors d’un dîner un soir où elles parlaient de l’obligation de la service publique en France (le fait que tous les jeunes sont obligés de faire un jour avec l’armée française). Apparemment, si vous participez, vous pouvez obtenir un document requis pour vous inscrire à un cours de conduite. Ou, du moins, c’est ce que j’ai compris de la conversation.
En France, vous pouvez pas obtenir votre permis de conduire avant 18 ans. De plus, c’est beaucoup plus difficile d’obtenir un permis de conduire qu’aux états-unis. Le cours est plus difficile et aussi il y a des places très limitées (selon mes amies). De plus, vous devez savoir conduire un véhicule manuel! Je sais très peu des personnes aux états-unis qui peuvent conduire un véhicule manuel. Elles semblent toutes très impressionnées par le fait que j’ai mon permis de conduire. Mais, pour moi, cela n’a absolument rien de remarquable!
Il était plus nécessaire pour moi d’obtenir mon permis de conduire dès que j’ai eu 16 ans parce que je devais conduire à l’école, au travail, et aux activités extra-scolaires. D’où je viens aux états-unis, c’est presque impossible d’aller nulle part sans un voiture. Aussi, l’examen qu’on doit passer pour obtenir un permit (en caroline de nord) est assez facile. Alors que, c’était pas le cas pour mes amies de la fac. Elles ont grandi en utilisant les transports publiques pour se déplacer. Et pour les autres voyages, elles ont l’habitude d’avoir accés à un vast système du train.
En fait, la culture des transports est très differente entre La France et les états-unis. Mes amies françaises trouvent que c’est “dingue” que je puisse me déplacer en voiture et faire des “road trips” avec mes amies. Moi, je préfère utiliser les transports en commun et prendre les trains. Peut-être que nous voulons tous juste ce que nous n’avons pas!
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Posted by biglaisc
March 28, 2024
Description :
Il y a deux semaines quand je suis entrée dans ma salle de classe à UT2J et je me suis assoit dans ma chaise d’habitude quand ma camarade de classe a me demandé pourquoi je portais un masque. J’étais enrhumée et j’ai vérifié que je n’ai pas eu de Covid, mais je ne voulais pas partager mon rhume, alors je portais un masque. Dans tous mes cours, il y avait des étudiants qui m’ont regardé quand je suis entré la classe, mais j’avais seulement un camarade de classe qui m’a demandé la question. Quand je porte un masque à mes cours aux États-Unis il n’y a jamais quelqu’un qui me regarde ou qui me demande pourquoi je porte un masque.
Interprétation :
J’ai dit à ce camarade de classe que j’étais enrhumée, que je n’avais pas le Covid, mais que je ne veux pas partager ma maladie avec tout le monde. Il a demandé des questions sur les règles de Covid aux États-Unis et s’il faut qu’on porte un masque quand on est enrhumé. J’ai dit non, mais c’est poli. Puis, j’ai demandé les règles et des habitudes autour de Covid et des maladies en générales en France. Il m’a dit qu’on ne doit pas faire une quarantaine quand on a le Covid, il faut qu’on porte un masque mais on peut vivre sa vie comme habitude. En outre, quand on est juste enrhumé on ne doit pas porter un masque et la plupart des gens ne le portent pas, ce que j’ai vu dans tous mes cours où il y avait des gens qui éternuent, qui toussent, et qui se mouchent sans masque.
Évaluation :
Cette conversation m’a choqué parce que tous les étudiants à Grinnell portent un masque quand ils sont un peu malades, même quand il n’est pas le Covid. On ne veut pas que les autres étudiants devenir malades aussi, alors on fait quelque chose très facile pour protéger les autres. Avant le Covid, il était tellement différent. On allait au travail ou au cours malade et sans masque, mais maintenant quand tous les américains savaient comment les masques sont efficaces à arrêter la transmission des maladies, c’est considéré malpoli de ne porter pas un masque quand on est malade. Quand j’ai appris que la plupart des personnes qui portent un masque ont le Covid et qu’ils continuent de vivre comme habitude, je deviens mal à l’aise parce qu’aux États-Unis on fait encore une quarantaine avec le Covid, ce qui réduit la probabilité que quelqu’un d’autre de l’attraper. Je trouve qu’il est bizarre de n’essayer pas de protéger des autres personnes, mais je sais qu’il y a une différence culturelle et je ne veux pas juger les français, même si leurs habitudes me rendre mal à l’aise.
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Posted by newsteam