Les Culottées – BD Mira Tellegen

Les Culottées : Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent – Pénélope Bagieu

Mira Tellegen

 

 

Le BD que j’ai choisi s’appelle « Culottées : Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent », écrit par Pénélope Bagieu. Il illustre les vies et les accomplissements des femmes d’avant-garde qui combattent les stéréotypes et améliorent le monde. Parmi les femmes discutées sont Joséphine Baker, une résistante contre le racisme, Christine Jorgensen, une célébrité transgenre, et Wu Zetian, une impératrice.

 

En lisant le BD, je me suis senti fier d’être une femme. Toutes les histoires sont des femmes braves qui sont en colères contre l’injustice, et à mon avis, il est rare de trouver les œuvres qui ne diabolisent pas la colère des femmes. En revanche, même que le BD montre l’activisme et la motivation de créer change des femmes des tous les siècles, il illustre aussi les vies très riches et heureuses des femmes. Les portraits des femmes dans le livre sont très complexes, avec les fautes même que les grands pouvoirs des femmes.

 

J’ai trouvé aussi que l’écriture est très attentionnée pour éviter les préjugés inconscients. Par exemple, dans l’histoire de Christine Jorgensen, l’auteur a utilisé les pronoms corrects pour Christine, même avant qu’elle ait entrepris une transition. Cependant, je trouve quelques illustrations qui accompagnent le texte de ne pas être politiquement correct. Par exemple, dans le BD, il y a une histoire très exaltante d’une guerrière Chiricahua, Lozen. Elle est illustrée comme extrêmement compétente avec le coup de main de la stratégie. Malheureusement, toutes les illustrations des personnes Amérindiennes ont la peau rouge. À mon avis, cela donne un sens d’une caricature qui diminue le message. De la même façon, dans l’histoire de Josephine Baker, je le trouve le portrait de ses danses d’être trompeur.  Bien que Josephine Baker a combattu le racisme énormément avec son activisme, elle a été aussi fétichisée beaucoup par les Français en connexion avec ses danses. L’auteur a écrit « C’est ici qu’elle crée sa célébré « danse sauvage » (L’arrière-grand-mère du twerk) » (78). Je le trouve ce passage d’être en mauvais gout, même parce qu’il évite de discuter du fétichisme destructeur des femmes noires en France même parce qu’il y a un dessin caricature qui l’accompagne.

 

Enfin, j’ai appris beaucoup dans ce BD des femmes incroyables qui ont vécu dans tous les pays et les siècles. Il apparait que nous avons tous le pouvoir de changer le monde si nous sommes courageux comme ces femmes. L’auteur a combiné les histoires de ces femmes magnifiquement, et en tout je recommande ce BD à tous.



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