October 28, 2021
J’ai lu Le goût d’Emma qui a été écrit par Emmanuelle Maisonneuve et Julia Pavlovitch. Le dessin et la couleur était dessinée par Kan Takahama. Le livre s’agit d’Emmanuelle Maisonneuve et son expérience gastronomique. Le premier truc que j’en ai remarqué, ce sont les images qui suivent un style très consistent. Il apparait que les BDs retrouvent une forme des dessins qui incarnent les personnages et les couleurs. Celui-ci illustre les personnages et les physiques très nettes tandis que les arrière-plans sont flous, donc le contraste aide en montrant les personnages dans les cadres. Par ailleurs, les couleurs ternes créent une ambiance des restaurants qui semblent importantes pour cette histoire. En fait, le BD décrit la vie d’Emma et comment elle réussit, apprends et grandit dans le monde gastronomique en travaillant pour le plus grand guide gastronomique du monde : Michelin. J’en ai appris l’année dernier dans un cours français à Dickinson. Pendant cette cour, on a vu et lu plusieurs films et histoires qui racontaient l’importance du guide. Quelques films étaient amusants avec les petites blagues et parodies du guide alors quand je lis un BD qui s’agit de ce même genre de cuisine, je peux comprendre plus sur la société gastronomique et l’importance dans la société française.
Je veux dire « société, » car il ressemble à un petit groupe élève dans le monde gastronomique. De plus, le guide, comme le BD montre, est considéré prestigieux et connu. On peut voir les pareils entre la bouffe en France et cette façon d’évaluer. Je me dis que la cuisine française, qui est déjà exceptionnel, mérite d’un guide précis comme Michelin. Je crois qu’il est uniquement français, même s’il existe autour du monde ! Je comprends l’importance du guide pour Emma car elle est la seule femme qui est une inspectrice. En effet, elle entre dans un métier qui était dominé par les hommes. C’est important de noter car sa position est plus importante pour l’avenir. Je me souviens d’apprendre de cette situation dans mon cours et pas juste les inspectrices, mais les cuisiniers qui ont reçu des étoiles. En fait, il existe une grande inégalité dans cette sphère de cuisine alors ce BD porte plus de pertinence qu’un joli BD. Les hommes sont tous les inspecteurs qu’Emma rencontre. Je pense au titre « Le goût d’Emma, » qui peut faire une allusion à l’idée qu’elle s’offre une nouveaux goût dans le monde gastronomique grâce à son sexe. En conclusion, cette DB s’exprime une vie réelle de l’auteur et elle le fait à travers des images et des mots. Cette forme de lecture, à mon avis, permit le lecteur de comprendre une histoire facilement et en plus il donne l’auteur des possibilités d’expression uniques.
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Posted by barrelli
October 28, 2021
J’ai lu la bande dessinée de Riad Sattouf, Les cahiers d’Esther: Histoires de mes 11 ans. Dans cet ouvrage, l’autre raconte les vraies histoires d’une fille dans une école privée à Paris, Esther. Au début, elle parle de la rentrée, des chouchous, de la joie, et des élections à travers la perspective d’une élève. Sur toutes les pages, la conversation suit les sujets qui intéressent une fille de dix ans. Chaque nouveau topique semble vraiment simple grâce au point de vue, mais on commence à comprendre comment les thèmes construisent une femme avec les orejuges dervies de la societe. Je pense que c’est un peu triste, comment les élèves n’ont pas le choix mais sont subjectifs dans leur environnement.
Par exemple, la deuxième histoire sur le quatrième page démontre une relation entre les étudiants plus grands, et les “chouchous” les nouveaux étudiants qui sont plus vulnérables. Nous avions le même programme à mon école aussi. Dans l’école maternelle et peut-être aussi dans le collège, nous avions des partenaires pour nous sentir plus sûrs. Après avoir expliqué la situation, et choisi sa propre chouchoute, Esther est rejetée par cette jeune. La petite serait plutôt heureuse avec la meilleure amie d’Esther, Cassandre, parce qu’elle a les cheveux plus beaux. Ce scénario me rappelle beaucoup de mon expérience au collège. Tous les gens ont aimé ma meilleure amie plus par rapport à moi parce qu’elle était plus belle. C’était difficile pour un enfant à comprendre et ressentir – et Esther, elle a vécu la même chose. Malgré cette expérience n’a que deux cases dans cette bande dessinée, je sais que ce mauvais sentiment dure longtemps. Il a l’air qu’Esther n’a pas encore conscience que cela sera une transformation. Donc, je me sens un peu de mélancolie parce que cela peut plus tard devenir douloureux où les femmes se sentent obligées d’être jolies.
Je sens que je n’ai rien appris de nouveau de la France. En fait, je sens que je l’ai déjà lu mais je ne sais pas – la bande dessinée semble familière mais je sais que cette auteure est populaire. Ces expériences qu’Esther rencontre sont similaires aux vies des élèves aux Etats-Unis, je suppose. Je pensais peut-être que la section sur les élections serait un peu différente, mais ce n’est pas le cas. J’ai vécu la même. Pour bien comprendre le rôle de la démocratie, nous avons organisé une élection de classe et bien sûr l’enfant plus populaire a gagné. Ce n’est pas la vraie démocratie mais c’est la vérité de la démocratie en pratique. Dans notre jeunesse, nous pensons que les concours de popularité ne sont jamais justes pour déterminer le chef ; mais c’est le cas dans le monde. C’est vraiment intéressant en regardant la perspective d’un élève qui apprend à vivre dans le monde à travers la justice et la joie pendant je sais que ces sentiments ne durent pas.
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Posted by Carly
October 28, 2021
Comme cette histoire se situe – pour la plupart – en Iran, l’auteur Marjane Satrapi incorpore l’histoire complexe de son pays. Au même temps, elle informant aussi ses lecteurs sur autres dirigeants célèbres et défenseurs de changement et du progrès pour leur propre pays, comme le révolutionnaire latino Che Guevara. La BD qui s’appelle, Persepolis 1, ça me fait sentir beaucoup de façons comme il explore beaucoup de thèmes qui me tiennent à cœur. Cela me fait comprendre des cultures comme celle-ci qui a été jugée et critiquée pour ses modes de vie mais plus précisément leur religion – l’islam. Comme cette BD parle beaucoup des références historiques d’Iran, ça me rend triste de voir l’Iran se battre pour protéger les droits des citoyens et plus particulièrement les droits des femmes et la liberté d’expression. Cela me fait aussi penser à quel point je suis reconnaissant de vivre dans un pays qui accorde la priorité au droit de ses citoyens à la liberté d’expression et à la liberté des femmes. L’auteur Satrapi parle aussi des problèmes par exemple la porte obligatoire du foulard, le régime islamique, sexisme, et plus. Alors que cet auteur met en lumière des parties du monde dont on ne parle pas aussi souvent, elle aide les lecteurs à comprendre la perspective du régime islamique aux yeux des Iraniens eux-mêmes, ainsi qu’à démolir les stéréotypes négatifs créés autour des islamiques. Même si mes sentiments sont tristes il y a des fois quand je suis heureuse avec la BD. Il y a des scènes dans la BD ça me fait rire, comme la jeune personnage rêve de devenir un prophète et une défenseure de changement et du progrès. Ce qui est jamais vu en raison des rôles traditionnels que jouent les femmes en iran et en islam. Le fait que cette jeune personage a la libértie et l’espace d’être quelqu’un qu’elle veut malgré les regles l’islam et sa société. Cette BD ne mentionne pas vraiment la France d’une manière importante autre que le fait que le personnage principal va dans une école bilingue qui est à la fois française et laïque. Bien que l’Iran n’ait pas été colonisé par la France, il est clair que la France a une grande influence dans l’âge, car la langue française était la deuxième langue officielle en Iran jusqu’aux années 1950.
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Posted by inaya1
October 28, 2021
Les Culottées : Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent – Pénélope Bagieu
Mira Tellegen
Le BD que j’ai choisi s’appelle « Culottées : Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent », écrit par Pénélope Bagieu. Il illustre les vies et les accomplissements des femmes d’avant-garde qui combattent les stéréotypes et améliorent le monde. Parmi les femmes discutées sont Joséphine Baker, une résistante contre le racisme, Christine Jorgensen, une célébrité transgenre, et Wu Zetian, une impératrice.
En lisant le BD, je me suis senti fier d’être une femme. Toutes les histoires sont des femmes braves qui sont en colères contre l’injustice, et à mon avis, il est rare de trouver les œuvres qui ne diabolisent pas la colère des femmes. En revanche, même que le BD montre l’activisme et la motivation de créer change des femmes des tous les siècles, il illustre aussi les vies très riches et heureuses des femmes. Les portraits des femmes dans le livre sont très complexes, avec les fautes même que les grands pouvoirs des femmes.
J’ai trouvé aussi que l’écriture est très attentionnée pour éviter les préjugés inconscients. Par exemple, dans l’histoire de Christine Jorgensen, l’auteur a utilisé les pronoms corrects pour Christine, même avant qu’elle ait entrepris une transition. Cependant, je trouve quelques illustrations qui accompagnent le texte de ne pas être politiquement correct. Par exemple, dans le BD, il y a une histoire très exaltante d’une guerrière Chiricahua, Lozen. Elle est illustrée comme extrêmement compétente avec le coup de main de la stratégie. Malheureusement, toutes les illustrations des personnes Amérindiennes ont la peau rouge. À mon avis, cela donne un sens d’une caricature qui diminue le message. De la même façon, dans l’histoire de Josephine Baker, je le trouve le portrait de ses danses d’être trompeur. Bien que Josephine Baker a combattu le racisme énormément avec son activisme, elle a été aussi fétichisée beaucoup par les Français en connexion avec ses danses. L’auteur a écrit « C’est ici qu’elle crée sa célébré « danse sauvage » (L’arrière-grand-mère du twerk) » (78). Je le trouve ce passage d’être en mauvais gout, même parce qu’il évite de discuter du fétichisme destructeur des femmes noires en France même parce qu’il y a un dessin caricature qui l’accompagne.
Enfin, j’ai appris beaucoup dans ce BD des femmes incroyables qui ont vécu dans tous les pays et les siècles. Il apparait que nous avons tous le pouvoir de changer le monde si nous sommes courageux comme ces femmes. L’auteur a combiné les histoires de ces femmes magnifiquement, et en tout je recommande ce BD à tous.
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Posted by tellegen
October 28, 2021
Cette bande dessinée Le Journal d’Aurore est écrite dans le style d’un journal personnel, raconté par Aurore, une jeune fille au début du lycée. C’est un livre très drôle, mais qui parle aussi de beaucoup de choses que les jeunes femmes vivent à cet âge. Une partie de la section que j’ai lue, que j’ai trouvée intéressante, est le moment où Aurore et son amie Lola s’inspectent dans le miroir. Les deux filles font des commentaires sur la forme de leur visage et sur le fait qu’il n’est pas symétrique. Le père de Lola les interrompt et explique que personne n’est symétrique et que cela n’a pas de sens de se disséquer dans le miroir. Bien qu’elle soit informelle, la scène est quelque chose de très important à lire pour les jeunes femmes, surtout à l’âge délicat de la puberté où l’on est toujours mal à l’aise. Je peux dire que cette bande dessinée est faite pour que les filles puissent s’y référer et s’en servir comme exutoire. Une scène que j’ai trouvée particulièrement drôle est celle où Aurore rencontre son voisin, un garçon mignon pour lequel elle a le béguin, et où leurs mains se rencontrent presque en ramassant une baguette. J’ai trouvé cette scène particulièrement française, puisqu’elle ne porte que du pain. Mais elle reflète aussi la timidité et la gaucherie de cet âge, puisqu’elle contorsionne son corps de manière amusante.
Il peut également être relié à cet âge parce qu’Aurore essaie de se « trouver » et qu’elle le fait en écrivant des résolutions du Nouvel An. Au début de la bande dessinée, elle est en colère contre l’école et la vie, mais au fur et à mesure, ses notes s’améliorent et elle devient moins en colère. Bien que je n’aie lu qu‘une petite partie du texte, j’ai l’impression qu’il est écrit d’une manière à laquelle on peut s’identifier. Cela m’a rappelé les livres écrits dans le style d’un journal intime qui étaient très courants lorsque j’étais au collège. Il me fait réfléchir à la maladresse de l’entrée au lycée et à la pression que l’on peut ressentir à cet âge pour être ou ressembler d’ une certaine façon.
Un exemple qui pourrait montrer la relation d’Aurore avec son territoire est lorsqu’elle se demande si elle veut être chrétienne parce qu’elle ne sait pas quoi acheter à sa famille pour Noël. Elle interroge un ami sur le ramadan et souhaite convertir les religions. Je pense que cela montre sa relation avec la culture française car elle est fortement associée à la religion, et nous pouvons voir que sa famille chérit la religion car ils apprécient les cadeaux qu’ils reçoivent. Dans l’ensemble, le thème du « manque de connexion » est présent, car Aurore ne se sent pas connectée à l’école, à sa famille ou à la religion à ce stade de sa vie.
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Posted by delsordh
October 28, 2021
J’ai lu quelque bande dessinée écrit par Riad Sattouf, Les Cahiers D’Esther, une jeune fille qui raconte des histoires de ses 10 ans. J’ai apprécié à lire ses bandes dessinées parce qu’ils m’ont rappelée mon enfance. L’histoire a commencé avec des descriptions de sa famille et sa relation entre chaque personne. Elle m’a rappelé l’époque où je partageais une chambre avec ma sœur à l’école primaire. Ensuite, elle a une expérience où ses parents essaient toujours de la convaincre que le Père Noël existe, son frère, qui a 14 ans, n’est d’aucune aide dans ce processus. La bande dessinée du livre qui a le plus attiré mon attention s’intitulait ” la maman et le papa”. Il a été écrit et montre Esther et ses amis jouant à la “maison” sur le terrain de jeu. Chacune de ses amies jouait un rôle différent, certaines faisaient semblant d’être des bébés, d’autres des mamans. Elles ont réalisé qu’elles n’avaient personne pour jouer les papas. J’ai joue les mêmes jeux quand j’étais age. J’ai réalisé qu’en n’apprenant la langue française principalement à travers des cours de grammaire et parfois des expériences culturelles en grandissant, j’ai oublié à quel point deux mondes différents peuvent se ressembler, surtout si l’on considère la naïveté de l’enfance. Je ne pense jamais aux jeux auxquels les enfants français jouent à l’école, ou plus profondément, aux idéologies culturelles ou aux rôles stéréotypés qui sont renforcés par ces jeux. L’autre bande dessinée que j’étais intéressé à lire était au sujet du père d’Esther qui travaillait dans une salle des sports. De la même manière que je ne me suis jamais préoccupé de ce à quoi jouent les enfants, je n’ai jamais pensé à la “culture de la salle” jusqu’à ce que j’ai décidé à faire mes études là. Parce que cette bande dessinée parle de la vie d’un enfant de 10 ans et peut-être des années précédentes, il n’y a pas beaucoup de choses qui discute ou démontre les aspects de la relation entre les citoyens français et l’état. Mais, plus récemment, et je pense que c’est le plus important, j’ai remarqué des similitudes significatives entre la France et les États-Unis. Enfin, je suis sûr que dans les bandes dessinées sur les dernières années de la vie d’Esther, je serais capable de faire des évidences, et spécifiquement sur la relation précédemment mentionnée.
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Posted by wrightb
October 28, 2021
La BD que j’ai choisis de lire est “Les Cahiers d’Esther – Histoire de mes 15 ans” qui correspond à plusieurs épisodes de la vie d’une jeune adolescente appelée Riad Sattouf. Cette BD à un style d’écriture particulier car c’est un jeune millénaire qui l’écrit et son style correspond beaucoup à ce qu’on peut entendre dans la rue aujourd’hui. L’histoire racontée est d’ailleurs récente puisqu’elle parle d’évènements récent comme le COVID et aussi de la mort de Kobe Bryan. Il y a beaucoup l’usage d’argot, termes familiers, de langage de “jeune”, donc je ressens automatiquement une sorte de proximité avec l’auteur car on parle le même langage on va dire.
La BD me fait ressentir beaucoup d’amusement mais aussi de la réflexion car je me rends comment l’argot et le langage des “jeunes” avec des termes comme “wesh” ou “ouf” ou encore “mon reuf” commence à prendre beaucoup d’ampleur dans la langue française. Je me rends aussi compte dU public visé dans ce genre BD car des personnes plus âgées qui la lisent peuvent rapidement se sentir dépaysé car le langage est assez codifié. Dans la BD, Esther explique comment ça fait d’avoir 15 ans raconte les péripéties de sa vie, son évolution etc. À travers les images de la BD, tu peux plus rapidement comprendre le contexte et ce que l’auteur veut te faire communiquer car généralement, les images sont plus parlantes et universelle que la langue en elle-même et en conséquence ça me permet de comprendre plus rapidement avant meme d’avoir lu. Finalement, ça me permet d’observer qu’aujourd’hui, il serait primordial de s’intéresser un peu plus aux dérivés de la langue française qui est si riche et qui pourrait permettre de mieux comprendre les jeunes par exemple à travers l’argot ou mieux se rapprocher de la culture française avec les anciennes langues comme l’occitans.
La BD fait un bon travail parce qu’en plus des petits vignette, elle essaye de retranscrire des émotions lorsque par exemple la vignette va être beaucoup plus agrandis c’est pour faire une pause sur un moment précis ou l’amplifier alors qu’au contraire si les cases se ressemblent plus alors il s’agit de faits ordinaires. Il y a aussi un vrai jeu de couleurs dans ma BD et il y a des couleurs comme le jaune et le oranges qui sont des couleurs qui flashs ce qui permet d’attirer l’attention du lecteur et pourrait signifier qu’il s’agit d’une scène importe alors que les autres vignettes moins importantes resteront moins colorées.
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Posted by Louis-David
October 6, 2021
Un texte est aussi un artefact culturel, lire le contenu est aussi ouvrir une fenêtre envers l’univers créative de l’autre. Cet exercice est conçu pour appréhender ce format entre littérature et graphisme très connu et très apprécié en France et dans le monde francophone ; la bande dessinée pour jeunes et adultes, mais pas pour enfant.
Etape 1
Prenez une BD de la sélection. Vous avez 25 minutes pour une lecture libre et silencieuse. Ce n’est pas important de tout finir, mais plutôt de se rendre compte des perspectives des auteurs et les illustrateurs.
Etape 2
Mettez vous sur le blog du cours pour créer un blog avec image (qui permet d’identifier l’ouvrage ; une page ou partie de page), mais à format ouvert (sans suivre le format DIE) pour partager avec notre cours votre découverte.Vous avez la suite de l’heure pour rédiger votre travail et le poster.
Rentrez en dialogue avec votre BD, qu’est-ce que cela vous fait ressentir ? d’amusement? du chagrin? à quoi cela vous fait réfléchir ? Apprenez-vous quelque chose sur la France ? Sur la relation du citoyen à son état ? à son territoire ?
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Posted by carnine