Les repas partagés

(J’ai un photo, mais mon hôte veut faire un plus joli repas, donc je vais ajouter une nouvelle photographe demain soir)

 

Description

En France, on mange le plus petit repas pendant le matin. La chocolatine et un café pourraient tous pour le premier repas du jour. Et ensuite, le dernier repas, c’est normal de manger trois plats. Par ailleurs, il est possible qu’on boive le vin avec son repas de midi. Pour dîner, on peut manger les pâtes, les fromages et du pain. En fait, on mange du pain à travers le jour n’importe pas le repas. Il est nécessaire qu’on prenne les temps pendant les repas pour discuter et manger. Chaque matin, je mange une chocolatine avec un café. Chaque dimanche, je mange le déjeuner avec mon hôte, son fils, et ses petits-enfants à 12h45. Entre trois et cinq fois par semaine je mange le dîner avec mon hôte. Les repas se passent toujours le même. En particulier, le déjeuner du dimanche ; il y a toujours une salade avec les fruits pour l’entrée, et ensuite un type de la viande avec les légumes. Pour dessert, on mange une galette, le fromage et on finit avec un café. Nous discutons la semaine dernière et la semaine prochaine. Les deux petits-enfants, qui ont 2 ans et 1 ans, sont inclus toujours dans notre conversation. Ça n’a pas dit qu’ils ajoutent aux conversations, mais ils peuvent écouter et, dans certains cas, entendre et répondre. Les parents des enfants disent, « Doucement, doucement, » quand les enfants mangent vite, et garder les règles strictes pour ce qu’une enfant peut manger (toujours les petits bouts). Pour le dîner, les plats changent beaucoup, mais il peut être la viande, le riz ou les pâtes etc., mais le repas se passe avec les discussions qui engagent tous le tableau. En effet, ils durent toujours une heure ou plus.

 

Interprétation

Les repas sont vraiment importants pour connecter la famille et pour renforcer les relations entre l’une et d’autre. D’ailleurs, il faut prendre les temps pur chaque repas. On mange doucement afin qu’on puisse manger beaucoup. J’ai observé dans les repas avec mon hôte que les parents enseignent aux enfants de manger « doucement, » quand ils sont jeunes. Il est évident que les enfants Françaises apprennent ce comportement de tableau. De plus, car il existe les repas, comme le déjeuner, où on mange trois plats, le temps corresponds à se digérer : on ne peut pas manger beaucoup, si on mange vite. Au début de mon séjour, mon hôte a dit, « Oh lala Elliot, tu manges très vite, » après avoir noté que je ne mange beaucoup. En fait, je ne mange beaucoup, elle avait raison, mais j’ai pensé que ma vitesse de manger était normale. Culturellement, je me trompe, car on discute des affaires en mangeant. On ne mange pas comme une chèvre ou une vache. On mange avec les autres, ça ne veut pas dire qu’un repas est sociale, mais plutôt indépendant de la table. On n’est pas ensemble uniquement pour manger.

 

Évaluation

Aux États-Unis, les repas sont plus courts et moins courant. J’ai discuté avec mon hôte que ma famille ne fait pas les repas chaque dimanche comme la sienne. Elle m’a demandé pourquoi et je trouve que la raison est simplement « le football américain. » Ça peut rigoler, mais c’est vrai. C’est pratique de manger devant la télé pendant la saison du football américain. De plus, je trouve que ma famille (mon père et moi) regarde les sports de la Philadelphie en mangeant le dîner ou le déjeuner. On place les sports au-dessous de discuter des affaires et la semaine. J’imagine que ça c’est vrai pour beaucoup d’Américaines qui regardent la télé aussi, même s’ils aiment les autres chaînes et programmes. Les repas ne sont pas importants comme en France. Il n’y a pas les trois plats qui incarnent un déjeuner. Par ailleurs, au contraste du petit-déjeuner en France, celui d’États-Unis est la plus grande, avec le bacon, les œufs, les galettes et plus. On mange plus le matin et moins l’après-midi. En effet, l’importance du petit-déjeuner aux États-Unis est évidente. Tout le monde américain dit que c’est le plus important repas du jour. De plus, l’importance de partager un repas en face à face n’apparaît pas d’exister dans la même sphère. Je ne veux pas dire que les repas ne sont pas importants, mais je trouve que les Américaines pensent aux fêtes comme Noël et Thanksgiving pour partager les repas importants tandis que les Françaises les partagent plus souvent. Aux États-Unis, on renforce les relations dans les repas des fêtes. Moi, je pense qu’il est un luxe, mais ici, on mange comme ça chaque semaine.



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