Les produits de saison

Mira Tellegen

Description :

 

Aux États-Unis, si je ne trouve pas de pêches au supermarché au cœur de l’hiver, je suis vraiment en colère. C’est courant aux repas-partage de Noël de trouver une tarte aux cerises et surement une sauce aux fraises. En fait, il y a un glacier dans ma rue qui change tous les goûts par saison, et ce n’est pas très populaire parce que les gens n’aiment pas n’avoir pas l’accès à ses goûts préférés en permanence.

Par contraste, cette semaine moi et mon hôtesse avons cuisiné une tarte aux framboises. Elle a eu les soucis qu’on ne trouve pas de framboises en octobre !

« Mais, les framboises sont dispensables toute l’année ! » Je l’ai dit. « Je les vois au Carrefour Market tous les jours »

« Oui, mais on ne peut pas utiliser ces framboises-là parce qu’ils sont importés ! » Elle m’a dit. « Il n’y a pas du gout ! »

« Tu ne manges pas de framboises tout l’hiver ? »

« Non, ni les fraises, » Elle dit.

« D’accord, on peut faire la tarte avec des pêches ? »

« Mais, non, Mira ! Les pêches sont un fruit de l’été aussi ! » Elle a ri.

Aux États-Unis, nous voulons nos fruits préférés toute l’année, goût ou non. De plus, si les fruits sont dispensables au supermarché, la plupart des Américains ne réfléchit jamais s’ils sont importés ou locaux.

Au marché en plein air le lendemain, j’ai noté que mon hôtesse a raison : il n’y a pas de fraises ni de framboises ! Cependant, les marchands vendent des tables pleines des potimarrons, des patates douces, et des poivrons dans un arc-en-ciel des bruns et oranges. C’est vraiment parfait pour les soupes.

 

 

 

Interprétation :

 

En effet, les États-Unis n’ont pas vraiment une cuisine nous-mêmes. Nous profitons beaucoup de plats savoureux de toutes les cuisines globales, mais autre que les hamburgers (qui deviennent en réalité de l’allemande), nous n’avons pas la fierté pour notre culture de la nourriture. Comme résultat, il semble prudent de considérer que les Français sont plus investis en trouver des ingrédients de la bonne qualité parce que pour-ils, la cuisine est synonyme avec son patrimoine.

D’une autre façon, dans beaucoup d’états américains, les habitants ne mangent pas souvent des légumes et des fruits. À mon université en Iowa, les seuls légumes crus sont les carottes et les concombres, et les seuls fruits qui ne deviennent pas d’une boîte en conserve sont des pommes et des bananes. Alors, pour des personnes qui mangent comme cela, ils ne peuvent pas gouter si un fruit est en saison ou non, parce que le sucre ajouté bouleverse la nature.

Enfin, je pense que les petits plaisirs de manger sont différentes culturellement entre les États-Unis et la France. Aux États-Unis, c’est essentiel que la nourriture soit piquante, et que nous avons toujours les glaçons, on adore la glace toutes les nuits, même en hiver. En France, aucune de ces choses sont vraies, mais les Français trouvent beaucoup de plaisir en manger avec des saisons.

 

 

Évaluation :

 

Par manger les choses saisonnières avec mon hôtesse, j’ai trouvé des goûts complètement nouveaux des nourritures familières. Les crevettes fraîches avec la tête pour craquer sont un million de fois plus doux que des crevettes aux États-Unis. Je n’ai jamais mangé une tomate aussi complexe que chacun du jardin de mon hôtesse. La piste des moules, avec les moules qui ont été empêché de la mer ce matin, a une texture comme des nuages, pas du tout comme les moules gommeux de l’Iowa. J’ai profité très bien de vivre comme les Français, et je me sens très près de la nature.

En revanche, dans mon cœur, je suis Américaine, et je ne peux pas passer tout l’hiver sans les framboises. Tous les aoûts, j’aimerais faire un pain du potimarron pour célébrer être à mi-chemin de Noel. Il y a beaucoup d’avantages de manger des nourritures importées (par exemple, des vins français), et je pense que je n’adapte jamais cent pourcent à cette habitude de mon hôtesse.



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